AKFrance
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
AKFrance

Avtomat Kalashnikova & Cie.
 
AccueilPortailRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
Le deal à ne pas rater :
SSD interne Crucial BX500 2,5″ SATA – 500 Go à 29,99€
29.99 €
Voir le deal

 

 l'AK in the world...

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
Minakoff

Minakoff


Nombre de messages : 321
Date d'inscription : 05/07/2006

l'AK in the world... Empty
MessageSujet: l'AK in the world...   l'AK in the world... EmptyMer 5 Juil - 23:14

:study:
l'AK in the world... Ak47L'automat kalashnikov.l'AK in the world... Ak47

Introduction.
Le fusil d'assaut kalashnikov, connu sous le nom d'AK-47, et ses
dérivés (autres AK) sont les armes d'épaule les plus répandues de la
seconde partie du XXème siècle. Ils sont encore aujourd'hui produits et
utilisés dans des dizaines de pays différents, dans un grand nombre de
versions. Le nombre d'automat kalashnikov produits durant les 50
dernières années serait supérieur à 90 millions. Cette arme, qui fait
partie des tout premiers véritables fusils d'assaut, est aujourd'hui
une véritable légende de l'histoire de l'armement. Tout le monde a déjà
vu un AK, que ce soit dans des livres, à travers les médias, les jeux
vidéos ou sur internet. L'AK-47 remplie dans l'imaginaire collectif le
rôle d'arme du pauvre, du terroriste, du communiste... Il est le fusil
d'assaut qui a connu le plus de conflits au monde, il a servi aux
quatre coins du globe, sous un très grand nombre de drapeaux, d'hommes,
de causes et il peut se vanter d'avoir bien mérité sa si grande
réputation. Il est également exceptionnel de part la durée de son
utilisation, qui a commencé en 1947 et dont personne ne sait quand elle
s'arretera. Il existe de plus un très grand nombre d'automat
kalashnikov différents, selon leur pays d'origine et je me tiendrai
donc à une description des principaux modèles d'AK en provenance de
Russie/URSS (exception faite pour le type56).
l'AK in the world... Ak47Histoire de l'automat kalashnikov.l'AK in the world... Ak47
Tout commence après la seconde guerre mondiale, lorsqu'il parut
nécessaire aux dirigeants de l'armée rouge de créer une arme capable de
remplacer toutes les armes d'épaule qui avaient été utilisées durant le
conflit, fusils comme pistolets mitrailleurs. En effet, les fusils,
malgré leur grande puissance et leur bonne précision, ne contenaient
généralement pas plus de 5 cartouches et devaient (du moins pour les
fusils russes de l'époque, de vieux Mosin-Nagant) être rechargés après
chaque coup, ce qui mettait leur porteur dans une très mauvaise posture
lors des combats raprochés. Au contraire, les pistolets mitrailleurs,
très utilisés par les soldats soviétiques (PPSh-41), avaient des
chargeurs d'une grande capacité et tiraient de manière automatique, ce
qui leur donnait un grand avantage lors des engagements à faible
distance. Ils souffraient cependant d'une précision et d'une fiabilité
inférieures à celles des fusils. Il fallait donc faire un compromis
entre les deux types d'armes, qui puisse combiner la puissance de feu
des pistolets mitrailleurs avec la précision des fusils et éviter de
devoir produire trop de modèles différents. Après plusieurs tentatives
qui s'étaient révélées plus ou moins convainquantes et qui avaient
abouti à des fusils semi-automatiques (SKS Simonov, STV-40), l'armée
rouge décida de confier le projet de nouvelle arme d'épaule à Mikhail
Kalashnikov, qui s'inpira fortement du nouveau et très novateur fusil
de l'armée allemande de l'époque, le Sturmgewehr 44 (STG-44). Celui ci,
livrés aux forces de Hitler a la fin de la guerre, pouvait tirer 30
cartouches de 7.92X33mm en mode semi automatique ou automatique avec
une bonne précision. L'ingénieur russe gomma les défauts de l'arme
allemande, qui s'avérait relativement lourde et difficile à manipuler
pour créer le désormais célèbre automat kalashnikov modèle 1947.
l'AK in the world... Ak47L'automat kalashnikov modèle 1947.l'AK in the world... Ak47

AK-47 jouit d'une grande précision jusqu'à plus de 300 mètres. Il
dispose de chargeurs de 30 cartouche de 7.62X39mm et peut être utilisé
en mode semi automatique ou automatique grâce à un système à emprunt de
gaz. Il est de plus d'une très grande fiabilité et d'une très grande
robustesse, liées à la simplicité qui caractérise toujours les armes
russes. Le fusil est aisément démontable et facile d'entretien, sans
qu'aucune pièce supplémentaire ne soit nécessaire pour son démontage.
Il est conçu dans des matériaux simples et solides, acier et bois, ce
qui lui permet de supporter des conditions difficiles. Toutes ces
caractéristiques en font un excellent fusil d'assaut, peu couteux et
facile à produire en masse. Ces éléments et le soutien de l'URSS aux
pays du Tiers Monde durant la guerre froide ont contribué à l'énorme
prolifération de cette arme, qui est encore largement répendue de nos
jours en Afrique et au Moyen Orient. Elle a été utilisée par les armées
arabes durant les conflits entre pays arabes et Israêl, par les Afghans
et les Russes en Afghanistan, par les Irakiens et les Iraniens durant
les trois dernières guerres qu'ils ont connues, par tous les camps en
ex-Yougoslavie etc... et est encore employée dans les combats qui se
livrent régulièrement un peu partout en Afrique et au Moyen Orient. Une
version chinoise de l'AK-47, le type 56, a également été utilisée
durant la guerre du Vietnam. Il s'agissait à quelques petits détails
près, comme l'adjonction d'un baïonnette qui restait en permanence sous
le canon de l'arme quand elle n'était pas sortie, d'une copie conforme
de l'arme russe, fabriquée sous licence par les Chinois. Elle était
d'ailleurs très adaptée aux combats dans la jungle et les Vietnamiens
communistes trouvèrent en elle une totale satisfaction, puisqu'il
s'agissait enfin d'un type d'arme sur lequel les Américains n'avaient
pas de supériorité technologique. Le AK-47 fut modifié une première
fois en 1951, sans que son appellation ne soit modifiée, puis à nouveau
en 1959. On dénomma alors cette version AKM (Automat Kalashnikov
Modernisé). Un autre modèles a également été développé, cette fois si
pour les parachutistes, le AKMS, avec une crosse en métal que l'on
pouvait retirer. Toutes ces différentes variantes ne comportent
cependant que peu de modification par rapport à l'AK-47, les premiers
éléments véritablement novateurs venant en 1974, avec l'AK-74.<br>
<br>
<b>l'AK in the world... Ak47L'automat kalashnikov modèle 1974.l'AK in the world... Ak47</b><br>
Lorsque les Etats Unis adoptèrent le M-16 dans les années 60, en
calibre 5,56X45mm, l'idée qu'une arme de plus petit calibre que le
7,62X33mm de l'AK-47 serait plus appropriée commença à germer dans les
esprits. Les Soviétiques lancèrent alors, à la fin des années 60, des
recherches pour développer une nouvelle version de l'AK. Après quelques
années d'études, plusieurs exemplaires du nouveau fusil d'assaut furent
crées et la décision de produire une nouvelle famille de fusils
d'assaut fut prise lorque l'état major soviétique approuva
définitivement la nouvelle munition. Le nouvel AK fut officiellement
adopté en 1974, sous le nom d'automat kalashnikov modèle 1974. Celui ci
tirait des cartouches de 5,45X39mm, toujours par chargeur de 30 et en
mode semi automatique ou automatique. A l'instar de l'AKMS, une version
de l'AK-74 destinée aux troupes aéroportées fut également crée,
l'AKS-74, de même qu'une version modernisée, l'AK-74M, qui introduisait
l'utilisation du plastique dans cette famille d'armes. Ce dernière
variante du fusil d'assaut a été adoptée au début des années 90 comme
l'arme officielle de l'armée russe et l'est encore aujourd'hui. Le
besoin d'une arme plus courte se fit également sentir, afin d'équiper
les conducteurs de véhicules blindés, ou d'hélicoptères ainsi que les
forces spéciales d'intervention, qui avaient besoin d'une arme compacte
et puissante. Les ingénieurs militaires russes créérent donc l'AKS-74U,
modèle qui tranche le plus franchement avec le "design" du vieil AK-47
mais qui garde les principales caractéristiques de l'AK-74. Cette
version de l'AK fut également adoptée par plusieurs polices en URSS et
dans les pays de l'ex-URSS.<br>
l'AK in the world... Ak47
<b>Les modèles plus récents d'automat kalashnikov.</b><br>
Après la guerre froide, les russes créérent une nouvelle version de
l'AK, qui apporte peu d'innovation par rapport à l'AK-74M, si ce n'est
l'introduction de la cartouche de 5,56X45mm standard OTAN. Cette arme
efficasse, destinée à la vente sur le marché mondial, fut dénommée
AK-101. Toujours dans les descendants le l'AK-74M, on trouve l'AK-103,
qui réintroduit la cartouche qui était celle de l'AK-47 : 7,62X39mm,
donnant ainsi une arme d'une plus grande puissance à la famille des
AK-74. Les versions les plus récentes des AK sont pourtant les AK-107
et AK-108, en calibres 5,45X39mm (107) et 5.56X45mm OTAN (108), qui
comprennent de légères modifications du design de l'arme et de
meilleures capacités de tir. Viennent enfin les AK courts,
AK-102-104-105, qui introduisent le plastique dans cette série d'armes
compactes et qui comportent un canon plus long que celui de l'AKS-74U,
le précurseur de ces 3 fusils d'assaut, qui utilisent pour leur part
les 3 types de munitions des AK (5.56X45mm OTAN, 7,62X39mm et
5,45X39mm)
l'AK in the world... Idri_postcard_ak_47
Revenir en haut Aller en bas
Admin
Admin
Admin


Nombre de messages : 36
Age : 54
Date d'inscription : 05/07/2006

l'AK in the world... Empty
MessageSujet: Re: l'AK in the world...   l'AK in the world... EmptyDim 9 Juil - 9:44

L'AK-47 (Avtomat Kalachnikova modèle 1947), souvent connu sous le nom de Kalachnikov, est un fusil d'assaut créé en 1947 par le soviétique Mikhaïl Kalachnikov. Cette arme est le premier modèle d'une famille.

Son coût très faible, sa robustesse, sa fiabilité et sa grande facilité d'entretien le rendent extrêmement populaire, en particulier auprès des combattants de pays à IDH faible et moyen.

Entre 70 à 110 millions d'exemplaires furent construits et la production des plus récents modèles continue.

Gestation et naissance

La naissance de cette arme légendaire est d'abord celle de sa munition, une cartouche de calibre 7,62 mm longue de 39 mm, dite 7,62x39, qui s'inspire de la Mauser 7,92 mm dite Kurz (courte) dont un exemplaire soustrait aux troupes allemandes pendant la Seconde Guerre mondiale servit de modèle.

La plupart des armées utilisaient des fusils au mieux semi-automatique, comme le M1 Garand, mais plus généralement à verrou. Ces armes chambraient des cartouches longues, comme la 7,92x57 Mauser, puissantes et efficaces à longue portée. Mais la faible cadence de tir, l'encombrement et le fort recul constituaient autant d'inconvénients et les pistolets mitrailleurs, comme le MP40 allemand, étaient donc souvent préférés en combat rapproché quoique leur munition d'arme de poing rendait le tir peu efficace à plus de cent mètres. Des études soviétiques montrèrent que même à faible distance une épaisse tenue d'hiver arrêtait parfois leurs balles. L'emploi combiné du fusil et du pistolet-mitrailleur contraignait par ailleurs à pourvoir l'infanterie en deux types de munitions d'armes d'épaule.

Les militaires allemands eurent l'intuition que la munition du fusil de guerre, conçue pour tirer efficacement à près de huit cent mètres, était trop puissante pour les distances réelles d'engagement, généralement inférieures à quatre cent mètres. Ils créèrent donc une nouvelle cartouche, en diminuant la charge propulsive donc la longueur de l'étui de moitié, ainsi qu'une arme révolutionnaire pour l'utiliser, nommée Sturmgewehr 44. L'Armée rouge disposa vite de quelques exemplaires et apprécia cette approche au point de faire développer, par Elisarov et Semine, l'équivalent à partir de sa 7,62x54 Nagant. La cartouche 7,62x39 qui en résulta fut adoptée en 1943 et les fabricants d'armes soviétiques conçurent les armes correspondantes.

Mikhaïl Kalachnikov, sergent dans une division blindée, commence à dessiner des armes alors qu'il est à l'hôpital et en convalescence, après avoir été blessé au cours de la bataille de Briansk. Son premier modèle, créé en 1942, est un pistolet mitrailleur écarté au profit du PPS-43 de Soudarev. Sa carabine semi-automatique de 1945 échoue face à celle de Simonov, la SKS, qui entre en service en 1946. Il conçoit alors, entre 1945 et 1949, plusieurs modèles expérimentaux de fusils d'assaut jugés intéressants par les autorités soviétiques, puis quitte l'armée et est embauché à l'usine d'armement IZHMASH, d'Ijevsk. Bien qu'il ait examiné un Stg 44 en 1946, Mikhaïl Kalachnikov nie fermement avoir copié les modèles allemands et italiens, ce que confirme la comparaison des armes, en dépit d'une certaine similitude générale, leurs principes de fonctionnement sont différents. Par contre il semble qu'il se soit inspiré du M1 Garand et des armes de Browning lors de la conception de la culasse rotative et du chien.

En 1949 l'armée soviétique adopte, sous la désignation d'AK-47, une de ses études de 1947 en tant que fusil réglementaire dans l'infanterie motorisée. Une version à crosse pliante, destinée au parachutistes et aux équipages de blindés, est aussi mise en service sous le nom d'AKS.

L'arme, bien que satisfaisante, est constamment modernisée, surtout dans le but de simplifier sa production, encore compliquée. Après plusieurs modèles expérimentaux en 1950 et 1951, une nouvelle version est adoptée par l'armée rouge en 1953. Sa désignation reste AK-47 mais elle est souvent qualifiée version légère car ne pèse plus que 3,8 kilogrammes chargée (au lieu de 4,3), grâce à l'emploi d'un fût usiné intégrant le verrou de culasse.

Le premier modèle de poignée pistolet, constitué d'une armature métallique soudée et habillée de demi-flasques en bois, est remplacé par un unique morceau de bois vissé. Les chargeurs auparavant lisses sont allégés et voient leurs flancs rigidifiés par l'adjonction de bandes métalliques de renfort et une baïonnette apparaît. Cette version sera la plus produite des AK-47, il en existe également une version à crosse pliante.

Le Kalachnikov économique, l'AKM

L'AK-47 rencontre un succès important mais, même dans sa version de 1953, de nombreux défauts de jeunesse subsistent et la construction usinée de certains de ses éléments l'allège mais en augmente le temps de fabrication. Kalachnikov et son équipe continuent donc à tenter de l'amélioration et plusieurs modèles expérimentaux naîtront. Outre la simplification de la construction les aménagements visent à réduire encore sa masse et à améliorer sa précision en tir automatique. En 1955 la construction de la carcasse par estampage et rivetage réapparaît mais le bois massif des premières séries est remplacé par du contreplaqué de bouleau, léger et peu coûteux. Le mécanisme de détente est pourvu d'un retardateur pour interdire la percussion précoce (avant verrouillage) d'une cartouche. Par ailleurs, le cylindre de récupération des gaz est aussi amélioré et la hausse, auparavant graduée jusqu'à 800 mètres, est portée jusqu'à 1000. Les résultats sont spectaculaires, la masse de l'arme chutant de 4,3 kg à 3,14, le coût et le temps de construction sont aussi considérablement réduits. Une nouvelle baïonnette est conçue pour être articulée sur son fourreau rigide, formant ainsi une pince destinée à couper les fils de fer barbelés. Le nouveau fusil est adopté par l'Armée rouge en 1959, sous le nom d'AKM, puis mise en service en 1961. La version avec crosse pliante en métal embouti destinée aux équipages de blindés, aux parachutistes et aux fantassins des BMP, nommée AKMS, porte la longueur de l'arme de 868 à 699 millimètres.
Un RPK avec un chargeur de 75 coups
Agrandir
Un RPK avec un chargeur de 75 coups

L'arrivée de l'AKM marque la naissance d'une nouvelle arme de la famille. Appelée Kalachnikov RPK, il s'agit d'une version lourde de l'AKM, destiné à remplacer le RPD donc à fournir des tirs d'appui à l'échelon du groupe de combat. L'arme est pourvue d'un bipied repliable, d'un canon plus long (591 mm contre 415) et plus épais, ce qui lui permet de tirer légèrement plus loin et plus longtemps. La carcasse est aussi renforcée et la crosse est celle du RPD. Sa hausse est pourvue d'un système de déport latéral et deux types de chargeurs peuvent être utilisé à la place de ceux de l'AKM, l'un du même type que le standard mais plus long contient 40 cartouches, l'autre est un tambour abritant 75 cartouches. Toutefois aucun mode de changement rapide du canon n'est prévu et la cadence pratique reste donc limitée du fait de son échauffement. Comme pour la version normale, un modèle à crosse pliante RPKS est prévu.

La mitrailleuse polyvalente PK ainsi que le fusil de précision SVD, nés au début des années 1960, emploient le mécanisme de l'AKM mais sont par ailleurs différentes et tirent la cartouche longue de 7,62x54.

En 1963, en une nouvelle refonte, l'AKM est équipé d'un compensateur de recul, un embout biseauté qui contre en partie la tendance de l'arme à remonter lors du tir. La baïonnette est aussi modernisée, sa forme est retravaillée et son fourreau est dorénavant en matière plastique. Cette dernière remplacera définitivement le bois dans la construction de l'arme en 1974 et sera le matériau de certains chargeurs. Les AKM peuvent être dotés de nombreux accessoires, par exemple le silencieux PBS et la lunette de tir de nuit NSPU. L'AKMS emploie un chargeur semi-circulaire de cent coups qui s'attache sur la fixation de baïonnette. Un lance-grenade adaptable sous le canon est aussi développé pour l'AKM, le 6G15, lançant des grenades de 40 mm.
[modifier]

Le passage au petit calibre, l'AK-74


L'apparition du M16 avec sa munition rapide de 5,56x45, fait prendre conscience aux soviétiques que, si la 7,62x39 est une munition efficace et éprouvée, la trajectoire de sa balle assez lourde et moins rapide n'est pas rectiligne sur la plus grande part de sa portée pratique car elle chute dès 200 mètres, ce qui réduit sa précision. Des études vont mener à la création d'une nouvelle cartouche, la 5,45x39, à la vitesse équivalente à celle de la 5,56x45 OTAN. L'AKM y sera adapté, donnant naissance à l'AK-74 et à son dérivé à crosse pliante l'AKS-74.

Bien que descendant directement de l'AKM, l'AK-74 présente de nombreuses différences, la plus apparente est la généralisation du plastique pour la fabrication du chargeur, que le profil de la munition rend moins courbe. Autres changements extérieurs d'importance, l'apparition d'un gros compensateur de recul au bout du canon et de deux excroissances entourant la hausse. Intérieurement, outre un nouveau canon, la taille de la culasse a été réduite et une extension rectangulaire placée à l'arrière du chariot transporteur (entraînant la culasse) isole la cartouche placée en haut du chargeur de la culasse en train de reculer. La fabrication de l'AK-74 vit progressivement s'imposer les matières plastiques à la place du bois, mais il semble que sur les premiers modèles seule la poignée pistolet était en matière plastique et par la suite les autres parties, à savoir la crosse et le garde-main finirent par être réalisés dans divers matériaux synthétiques, comme la fibre de verre renforcée de polyamide. L'AKS-74 diffère énormément de son prédécesseur l'AKMS car, outre les changements précédents, la traditionnelle crosse pliante en métal, qu'on basculait autour du corps, a cédé la place à un modèle évidé qu'on rabat sur le flanc gauche de l'arme.

Comme pour l'AKM, une version lourde est aussi produite, le RPK-74, avec son avatar à crosse pliante le RPKS-74, au canon lourd long de 590 mm et à la hausse réglable en dérive et doté d'un compensateur de recul différent. L'arme est approvisionnée par un nouveau chargeur en plastique similaire a celui de l'AK-74 mais contenant 45 cartouches.

En 1979 apparaît l'AKS-74U, une version courte surtout destiné au forces spéciales, extrêmement compacte car longue de 490 mm crosse repliée. le canon est beaucoup plus court avec 210 mm et l'évent de prise de gaz a été rapproché de la chambre, ouvrant la culasse plus tôt donc augmentant la cadence de tir. Ce canon ne permet toutefois pas un tir soutenu et réduit la précision.
[modifier]

Modèles actuels (AK-100)

Au moment de l'effondrement de l'URSS l'Armée rouge envisageait de remplacer la famille des fusils Kalachnikov par une arme nouvelle, le Nikonov AN-94. Mais il semble que son coût et sa complexité contraignirent à le réserver aux unités d'élite. Une nouvelle version de l'AK-74, l'AK-74M, a été adoptée en 1991 et devient le fusil standard de l'armée russe. Ce dérivé est peu différent des premiers AK-74 mais sa crosse plastique est repliable sur le côté gauche, où se trouve un rail de montage de lunette de visée. Sa finition est noire, tant au niveau des plastiques que du métal traité par phosphatage.

Pour l'exportation, la firme IZH, issue de l'ancienne usine d'État n° 100 d'Ijevsk, créa à partir de l'AK-74M une gamme de modèles utilisant les munitions les plus communes du marché, disponibles avec deux longueurs de canons (415 et 314 mm). On trouve ainsi les AK-101 et 102 en 5,56x45 OTAN, les AK-103 et 104 en 7,62x39 et les AK-74M et AK-105 en 5,45x39. Deux nouvelles armes complètent l'ensemble adopté il y a plus de cinquante ans, l'AK-107 et l'AK-108, respectivement en 5,45 et 5,56 mm, qui disposent d'un deuxième piston déplaçant une masselotte destinée à compenser le déplacement de masse vers l'arrière qui, malgré les compensateurs, a toujours causé une élévation du canon durant le tir jugée trop accusée.


Dernière édition par le Dim 9 Juil - 9:48, édité 2 fois
Revenir en haut Aller en bas
https://akfrance.1fr1.net
Admin
Admin
Admin


Nombre de messages : 36
Age : 54
Date d'inscription : 05/07/2006

l'AK in the world... Empty
MessageSujet: Re: l'AK in the world...   l'AK in the world... EmptyDim 9 Juil - 9:45

Les dérivés étrangers

Le premier pays à produire l'AK-47 en-dehors de l'URSS fut la Chine populaire qui acquit la licence de fabrication en 1956, en même temps que celle de la carabine SKS. L'arme, désignée Fusil Type 56, fut déclinée en deux versions, une à crosse fixe en bois et l'autre avec crosse métallique se repliant sous l'arme comme sur l'AKS (Type 56/1). La principale différence avec le modèle d'AK-47 soviétique modifié 1953 est la présence d'une baïonnette fixe repliable sous l'arme. Le mélange de caractéristiques du fusil type 56 avec celles de la copie de la SKS donna naissance aux fusils type 63/Type 68, qui sont à l'origine des fusils actuels de l'armée chinoise. L'AKM modèle 1959 devint le Type 56/2. Une version bullpup du type 56 fut produite au début des années 1980, sous le nom de Type 86.

À la même époque la Finlande, ayant de bonne relation avec l'URSS depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, décide elle aussi de prendre une licence de production de l'AK-47. La société Valmet en dérive un modèle local, le RK 62

Dans les années 1970 apparaît une nouvelle versions du fusil, le Valmet Rk.76, dont la carcasse est maintenant fabriquée par estampage, réduisant considérablement sa masse, tandis que le garde-main est de nouveau modifié et enveloppe de nouveau le cylindre de gaz. Pas moins de quatre modèles de crosse sont prévus, W pour une crosse en bois fixe, P pour une en plastique fixe, T pour une crosse tubulaire fixe et TP pour la tubulaire pliante. Les armes sont toujours produites en deux calibres 7,62x39 et 5,56x45. Les plus récentes évolutions sont le Sako Rk.95TP (la firme Sako ayant absorbé Valmet) qui adopte la crosse pliante squelette issue du Galil israélien et le bullpup Valmet 82. Les armes produites par Valmet sont généralement considérées comme les meilleurs modèles dérivés de l'AK-47 car bénéficient d'un usinage et d'une finition supérieures à celles de leurs concurrentes.

Après la Guerre des six jours l'armée israélienne confia à Israel Galili le soin de gérer la conception d'une arme devant remplacer ses FAL et Uzi. Ainsi naquit le Galil, un dérivé du Valmet Rk.62 réalisé avec l'appui des Finlandais qui gagna la compétition en 1973.

Les principales améliorations sont l'ajout d'une sécurité supplémentaire sur la poignée pistolet, une crosse squelette inspiré de celle du FAL et un embout cache-flamme sur le canon permettant également de lancer des grenades.

Le Galil est décliné en plusieurs versions, AR et ARM, avec un bipied amovible qui sert aussi de coupe fil et de décapsuleur ainsi qu'une poignée de transport. Les deux versions sont disponibles en 7,62 OTAN et 5,56 OTAN. Les Galil SAR et MAR sont des versions courtes en 5,56 avec des canons de 332 et 195 mm.

Un autre dérivé de l'ARM en 7,62 est le fusil de précision GALATZ ne tirant qu'en mode semi-automatique. Même si le Galil est une arme très réussie, la fourniture par les USA de nombreux fusils M-16 et CAR-15 à très bas prix, a en pratique limité son statut de fusil standard de l'armée israélienne.

Il a toutefois rencontré le succès à l'export, donnant lieu à des productions sous licence en Afrique du Sud sous les nom de Vektor R4 (Galil AR), Vektor R-5 (Galil SAR) et Vektor R-6 (Galil MAR), ainsi qu'en Croatie où une version pourvue d'une lunette de visée grossissant 1,5X et d'une poignée de transport est produite sous le nom de APS 95 par RH-Alan.
Vektor propose aussi une arme futuriste dérivée de son R-4, le CR-21, de configuration bullpup et entièrement habillé de polymère, à la lunette de visée rétro éclairée.

Le Vepr ukrainien est une autre version bullpup récente dérivée de l'AK-74, mais elle ne semble pas avoir encore été fournie à l'armée ukrainienne et semble peu pratique car conserve le sélecteur de tir des AK qui se trouve derrière la poignée pistolet.

L'Inde produit sa propre version de l'AK-74 depuis 1988, sous la désignation de INSAS, chambrée en 5,56 OTAN et au sélecteur de tir placé sur la gauche pour être manœuvré par le pouce droit. Cette arme dont il existe une version fusil-mitrailleur emprunte également plusieurs élément au FAL.

Les pays membres du Pacte de Varsovie et anciennement alliés à l'URSS produisirent de nombreux AK plus ou moins modifiés. La Bulgarie a produit des copies d'AK-47 du modèle 1953 et des AKM, réputés pour leur solidité : les AKK, AKKS, AKKM et AKKM.

La Roumanie produisit sous licence l'AK-47 (AI)et un dérivé de l'AKM, réputé fragile, l'AIM et sa version à crosse pliante AIMS, qui se caractérisait par une poignée pistolet au garde main.

La Yougoslavie, produisait le M70.B1 qui se caractérise par ses capacités de tir de grenades à partir du canon, grâce à un viseur auxiliaire.

Cuba produit une copie conforme de l'AKM et la Corée du Nord une copie de l'AK-47 modèle 1953 appelée modèle 58 et une copie de l'AKM modèle 1959 appelé Type 68.

Les Types nord-coréens 58 et 68 ont une finition grossière.

L'Allemagne de l'Est, produisit ses propres AKM et AKMS, en utilisant au maximum le plastique, sous le nom de MPi-KM.

La Hongrie, après avoir produit des AK-47 sous licence (AK-55), construit deux versions originales de l'AKM, l'AMD-65 disponible avec crosse fixe ou pliante, dont le garde-main était remplacé par une poignée pistolet, et l'AKM-63, un AKMS à crosse pliante et chargeur de 5 coups pour tirer des grenades antichars ou antipersonnel.

L'Égypte produit le MISR, une copie quasi parfaite de l'AKM. Le MISR version Para reçoit une crosse repliable à droite identique aux modèles est-allemands.

Enfin Cuba produisit une version locale de l'AKM. Elle est aussi produite en Algerie qui l'exporte en Afrique et autre pays du tiers monde.

[/size]
Revenir en haut Aller en bas
https://akfrance.1fr1.net
Admin
Admin
Admin


Nombre de messages : 36
Age : 54
Date d'inscription : 05/07/2006

l'AK in the world... Empty
MessageSujet: Re: l'AK in the world...   l'AK in the world... EmptyDim 9 Juil - 9:49

Caractéristiques et description

La cadence de son tir automatique est de 600 coups par minute.

Certains AK-47 sont plus précis que d'autres. Les plus anciens modèles, les modèles bulgares, les modèles yougoslaves et les plus récents modèles soviétiques ont une précision de 2 minutes d'arc, ce qui est un standard minimum pour toute arme moderne. Les autres modèles ont une précision d'environ 6 minutes d'arc seulement.

Tout d'abord produit par l'usine d'armement soviétique IZH, il devint populaire pendant la Guerre froide. L'AK-47 est plus léger et compact que les fusils utilisés pendant la Seconde Guerre mondiale, sa portée est plus réduite et il peut tirer par rafales. Il fut le premier fusil d'assaut massivement produit.

L'AK-47 est peu coûteux à fabriquer, plutôt léger et très simple à entretenir, même sur le champ de bataille. Sa réputation de robustesse et de fiabilité n'est plus à faire. Il peut encore tirer après avoir été plongé dans l'eau ou le sable.
[modifier]

Fonctionnement

Toutes les armes de la famille Kalachnikov fonctionnent par un emprunt de gaz assuré par un évent situé environ au deux tiers du canon. Les gaz prélevés lors d'un tir poussent un piston solidaire du porte-culasse. Celui-ci recule en entraînant la culasse ce qui imprime à cette dernière une rotation la dégageant des tenons qui la liaient au canon afin de l'y verrouiller avant la percussion. L'ensemble recule en comprimant le ressort récupérateur en épuisant l'énergie du recul. Le ressort récupérateur ramène alors toutes les pièces vers l'avant. La culasse prélève une nouvelle munition entre les lèvres du chargeur et l'introduit dans la chambre en l'y menant sur la rampe d'alimentation, puis elle effectue une nouvelle rotation pour se verrouiller à la chambre et un nouveau tir peut alors se produire, selon la position de la détente et du sélecteur de tir. Ces deux derniers composants contrôlent l'activité du chien qui vient frapper le percuteur pour amorcer la cartouche présente dans la chambre. La détente n'a que deux positions, enfoncée ou relevée, la sélection du mode de tir se fait au niveau du levier latéral qui lui a trois positions:

* sécurité (levier en position haute), le chien est alors verrouillé, le tir est impossible
* coup par coup (levier en position basse), pour le tir semi-automatique
* automatique (levier en position intermédiaire), le chien devient libre tant que la détente est enfoncée. Après le tir de la dernière cartouche d'un chargeur la culasse d'un AK-47 classique n'est pas bloquée en position arrière, ce qui contraint à réarmer après avoir mis en place un chargeur.

Actuellement nous estimons que le fusil AK 47 est l'arme la plus répandue sur le marché noir de l'armement, elle bat le record du nombre d'unités volées, en circulation illégale, ceci étant dû a la rupture du bloc de l'Est. Elle est définie comme l'arme du pauvre en raison de sa forte utilisation dans les conflits civils notamment en Afrique noire. Elle aurait fait plus de victime que la bombe de Hiroshima.
[modifier]

Démontage et entretien

Le démontage de l'arme est facile. Engager la sûreté (sélecteur de tir en position haute), déposer le chargeur, s'assurer que l'arme ne contient aucune munition, puis conserver le canon pointé de sorte qu'un tir involontaire ne cause aucun dommage.

À l'arrière du corps, au-dessus de la base de la crosse, la tige du ressort récupérateur fait saillie à travers le couvercle, il suffit de la pousser un peu pour libérer ce dernier. Une fois celui-ci retiré, l'ensemble du mécanisme apparaît. La deuxième étape consiste de nouveau à pousser la tige du ressort récupérateur vers l'avant, puis de la soulever légèrement afin d'extraire le mécanisme de l'arme. On peut alors en séparer les divers éléments, à savoir: le ressort récupérateur et sa tige, le chariot porte-culasse et le piston à gaz. La culasse peut être désolidarisée du transporteur par une simple rotation, ce qui libère le percuteur. On peut ensuite séparer la carcasse de l'arme en deux parties, la supérieure contenant le cylindre à gaz. À ce stade, il ne reste plus que le mécanisme du chien et le canon sur l'arme, ce qui permet déjà un entretien correct. Le cylindre et la chambre, ainsi que le piston à gaz et l'intérieur du cylindre, sont la plupart du temps chromés afin de résister à la corrosion et à l'usure. Il est toutefois conseillé de nettoyer l'ensemble après chaque utilisation, d'autant que la plupart des munitions militaires, en particulier soviétiques, chinoises et d'Europe de l'Est, utilisent des amorces corrosives.
[modifier]

Accessoires

La traditionnelle hausse rabattable en métal est libérée en appuyant sur deux boutons à l'arrière du fusil. Elle est calée sur 50 mètres, distance minimale pour tirer tout en visant car en deçà la visée est instinctive. Pour les combats de nuit, certains modèles russes ont un système rabattable de visée laser, également calé sur 50 mètres. Ce type de visée est le point le plus critiqué de l'AK-47, car il est moins pratique et moins précis que la plupart des autres systèmes, comme les lunettes de visée, mais sur les fusils d'assaut une grande précision n'est en pratique pas une qualité fondamentale.

Une bretelle est fournie pour les tirs de précision. Enroulée autour de l'avant-bras gauche, elle permet de maintenir le fusil plaqué et de gagner ainsi en stabilité.

Le chargeur se libère manuellement, il est situé à l'avant du pontet (qui entoure la queue de détente) qui est très large, permettant le port de gants.

La crosse de certains modèles destinés aux parachutistes et aux troupes mécanisées ou blindées est évidée afin d'accrocher facilement l'arme.
[modifier]

Versions
[modifier]

URSS et Russie

* AK-47 calibre 7,62x39mm
* AKS version à crosse pliante du AK-47
* RPK
* AKM emploi généralisé de l'estampage, baïonnette coupe-fil
* AKMS version à crosse pliante du AKM
* AK-74 calibre 5,45x39mm
* AKS-74 version à crosse pliante du AK-74
* AK-74M calibre 5,45x39mm, canon de 415 mm de longueur
* AKS-74U
* RPK-74
* AK101 calibre 5,56 OTAN (5,56x45mm), canon de 415 mm de longueur, finition phosphate noir, crosse plastique pliante (fibre de verre et polyamide)
* AK102 calibre 5,56 OTAN (5,56x45mm), canon de 314 mm de longueur, finition phosphate noir, crosse plastique pliante (fibre de verre et polyamide)
* AK103 calibre 7,62x39mm, canon de 415 mm de longueur, finition phosphate noir, crosse plastique pliante (fibre de verre et polyamide)
* AK104 calibre 7,62x39mm, canon de 314 mm de longueur, finition phosphate noir, crosse plastique pliante (fibre de verre et polyamide)
* AK105 calibre 5,45x39mm, canon de 314 mm de longueur, finition phosphate noir, crosse plastique pliante (fibre de verre et polyamide)

[modifier]

République populaire de Chine

* Type 56 avec ou sans baïonnette repliable sous le canon, on la distingue également par les idéogrammes chinois au niveau du sélecteur de tir sur le côté droit de la boîte de culasse, qui sont pour les modèles destinés à l'exportation, remplacés par les lettres "L" et "D"
* Type 56/1 avec crosse repliable
* Type 56/2 avec carcasse estampée, crosse repliable sous l'arme ou à droite (modèle plus rare). Construite par l'arsenal 66, elle est parfois appelée MPi-AK 74N, MPi-AKS 74N ou MPi-AKS 74NK

[modifier]

Pologne

* karabinek-granatnik wz. 1960 calibre 7,62x39mm
* karabinek automatyczny wz. 88 Tantal calibre 5,45x39mm
* karabinek szturmowy wz. 96 Beryl calibre 5,56 OTAN

[modifier]

Roumanie

* AI : AK-47 produit par les arsenaux de Cugir. Poignée avant très rare
* AIM/AIMS : AKM munie le plus souvent d'une poignée pistolet antérieure en lamellé-collé
* AI-74 : AK-74 munie le plus souvent d'une poignée pistolet antérieure en lamellé-collé
* AIR : AIMS compacte. Poignée avant optionnelle

[modifier]

Yougoslavie et Serbie

* Zastava M64/M64A/M64B/M70/M7OA : copie de l'AK 47 avec manchon lance-grenade amovible. Le canon du M64 est de 50 cm ; ceux des M64A/B et M70/A sont de 41 cm. Les M64B/70A correspondent à l'AKS russe. Elles possèdent toutes un arrêtoir de chargeur
* M70.B1/B2 : copies de l'AKM/AKMS avec manchon lance-grenade amovible
* AR M77B1 : M70B1 en 7,62 OTAN, capacité de 20 coups
* SMG M92 : version compacte du M70B1, à crosse repliable
* AR M80/M90 : M70B1 en 5,56mm OTAN, 30 coups
* SMG M80A/M85 : version compacte des AR M80/M90 à crosse repliable
* AR M21 : calibre 5,56mm OTAN (inspiré du Galil) destiné à remplacer les M70B1 dans l'armée
* M76 Sniper : fusil de précision en semi-automatique en calibre 8 mm Mauser (7,92x57mm) et 7,62 OTAN
Revenir en haut Aller en bas
https://akfrance.1fr1.net
Contenu sponsorisé





l'AK in the world... Empty
MessageSujet: Re: l'AK in the world...   l'AK in the world... Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
l'AK in the world...
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
AKFrance :: AK & Cie review-
Sauter vers: